A mi-chemin entre l’agenda et le carnet de développement personnel le Bullet Journal est un véritable coach de vie.
Il a déjà conquis des millions de personnes. Voici comment vous y mettre :
DÉVELOPPER SON OPTIMISME

Le tracker d’humeur : il s’agit d’un tableau, d’un cercle ou d’un dessin, doté d’un code couleur. On y reporte comment on se sent au jour le jour. Croiser les résultats du tracker d’humeur avec d’autres informations permet d’identifier les éléments bénéfiques ou nuisibles à l’état émotionnel.
La page de gratitude : chaque jour, on note cinq choses pour lesquelles on ressent de la gratitude. On peut trouver du positif même après une mauvaise journée.
La bucket list : on consigne sur cette page tout ce que l’on aimerait résilier au cours de sa vie. Écrire, c’est autoriser à rêver. C’est aussi fixer ses envier
SUIVRE L'AVANCEMENT DES TÂCHES

Un système de codes permet de distinguer les différents activités et de toujours savoir où l’on en est. Par exemple on dessine un triangle lorsqu’il s’agit d’un événement, un rond représente un rendez-vous et un carré, une tâche à accomplir. S’il est barré c’est qu’elle a été annulée. Marquée d’une croix, la tâche a été effectuée et on dessine une flèche à l’intérieur du carré pour signifier qu’elle a été reportée.
Visualiser le travail accompli procure un sentiment positif d’efficacité et de productivité.
RECHARGER SA CRÉATIVITÉ

Le Bullet Journal peut être très simple ou agrémenté de dessins, de peintures… Tenir un stylo oblige à renouer avec une temporalité plus lente. Plus on se laisse aller à crayonner ou à colorier, et on plus on recharge sa créativité et son imagination. Cet espace de rêverie est essentiel pour le cerveau.
S’octroyer des temps de pause où l’on ne cherche pas à être productif permet en réalité de l’être d’avantage.
Si l’on ne sait pas dessiner, on n’hésite pas à recopier des illustrations, à découper des images dans des magazines, ou à imprimer ce qui nous plaît sur Pinterest ou Instagram. Il ne faut pas avoir peur de rater, de rayer, et d’avoir certaines pages moins réussies que d’autres. Le Bullet Journal doit être vivant. Trop de perfectionnisme rend le projet laborieux, et on risque d’abandonner. Il faut aussi accepter de ne pas toujours remplir et délaisser parfois quelques jours son carnet pour mieux le reprendre ensuite.